• Défie moi Chapitre 1

    Auteur : Sedinette Michaelis

     

    Disclaimer : Rien est à moi, les personnages appartiennent à J.K Rolling et à ses missions d'éditions. 

     

    Pairing : TMR/HP.

     

    Warning : UA, Fic non sorcier, présence de relations homosexuelles explicites.

     

    OoO

     

    Bonne lecture 

     

    OoO

     

    Harry posa sa valise sur le lit au matelas à la qualité douteuse, mais ne put s’empêcher de sourire. Il était enfin libre. Il avait fait des pieds et des mains pendant une année pour que son oncle lui accorde enfin le prêt qui lui permettrait de rentrer à l’université d’art qu’il visait, pas la plus prestigieuse, et pas la plus chère non plus d’Angleterre, mais il l’avait choisi pour ça.

    Il avait vécu une année horrible. Après son diplôme de fin d’étude secondaire en main, sortie d’un lycée public avec des notes correctes, Vernon et Pétunia Dursley, ses tuteurs légaux, avaient refusé que lui, Hadrian, Harry, James Potter, continue ses études, et avaient exigé qu’il se trouve un travail, afin qu’il le rembourse de tout l’argent qu’ils avaient engagé pour le vêtir, le nourrir, et pour les frais scolaires. À force de supplication, il avait obtenu de son oncle qu’il lui fasse un prêt pour son université, et il y était. Enfin.

    L’art était sa passion, et ce depuis aussi loin qu’il se souvenait. À huit ans, il pouvait regarder des peintures, des tableaux et même des photos, pendant des heures dans les musées autour de la maison des Dursley, sans décrocher. Moins doué dans les matières cartésiennes, telle l’algèbre et la physique, il avait vite décidé de s’engager dans la voie de l’art. Il leur devrait probablement toujours de l’argent, au moins sur vingt ans, voir plus, mais il faisait ce qu’il aimait, alors ce n’était pas un problème.

    Harry avait ensuite obtenu une bourse pour se payer un logement étudiant sur le campus, une des chambres les moins chers, et s’était trouvé un travail à mi-temps, et il économisait pour commencer à rembourser son oncle, qui lui mettait toujours un peu plus la pression, alors qu’il n’avait pas commencé les cours. Il aurait tellement souhaité avoir une bourse suffisante pour payer toute son année, mais malheureusement, ses tuteurs gagnaient bien trop d’argent avec l’entreprise de Vernon pour qu’on lui donne plus que ce qu’il avait eu.

    Il partageait la minuscule chambre avec un autre garçon, un certain Collin Crivey, qui n’était pas encore arrivé, mais dont le nom était affiché sur le contrat de bail. Harry espérait sincèrement pouvoir s’entendre avec lui, il avait toujours eu très peu d’ami, toutes les personnes qui l’approchaient étaient immédiatement menacé par Dudley, son horrible cousin. Il avait été fui comme la peste, jusqu’à ce qu’il rencontre les Weasley, et plus précisément Ron, son meilleur ami, qui faisait une formation de mécanicien, pour travailler avec son père et reprendre l’affaire familiale. Harry adorait les Weasley, ils avaient tous été sa seconde famille, sa véritable famille en fin de compte. Il avait même cru à un moment pouvoir en faire partie, lorsqu’il avait commencé à sortir avec Ginny, la dernière de la tribu, lorsqu’il avait seize ans, et elle quinze, mais au bout d’un an, ils s’étaient rendus compte qu’ils étaient aussi bien ami, et qu’ils ne ressentaient rien de particulier l’un pour l’autre, même si le sexe était absolument génial. Elle avait été sa première fois après tout, et Ginny aurait toujours une place dans son coeur.

    Oui, il les adorait, et il savait que tout ce temps séparé d’eux allait être vraiment compliqué à gérer.

    Harry ouvrit sa valise et mit ses maigres possession dans le placard à côté de son lit, celui à côté de la fenêtre. Les vêtements étaient trop grands pour lui, mais il n’avait rien de mieux, sauf bien sur les pulls tricotés à la main par Molly, la mère de Ron, qu’il recevait à chaque Noël. Il posa ensuite sur sa commode son livre d’histoire de l’art, son option, et ce dans quoi il voulait se spécialiser, puis l’album photo de ses parents, un cadeau de Rémus Lupin et Sirius Black pour ses quatorze ans.

    Les deux hommes avaient été deux des meilleurs amis de ses parents, avant que ceux-ci ne se fassent tuer par Peter Pettigrew, pour une stupide histoire d’argent. Ils auraient dû, après la mort de ses parents, hériter de sa garde, mais ils avaient tous les deux un casier judiciaire et avaient fait de la prison, pour vol à l’arme blanche dans des supérettes pour Lupin, et consommation de drogue pour Black, et le fait qu’ils étaient en couple ne les aidait pas non plus, le système n’était pas tendre avec les homosexuels, surtout quand il s’agissait d’enfant, et encore moins à l’époque où il était devenu orphelin. Ils étaient aujourd’hui des personnes comme tout le monde, qui avaient décroché de leurs

    anciens travers, mais la société étant ce qu’elle était, ils n’avaient jamais pu avoir sa garde, et il était resté avec les Dursley. Harry ne leur en voulait pas, c’était la vie, mais il les adorait.

    Après avoir rangé rapidement ses affaires, Harry glissa sa valise sous son lit et s’étala dessus. Sa première année de liberté, il devait en profiter, et il avait des milliers d’idées en tête. D’abord, se trouver un travail, pour se payer les très nombreuses sorties qu’il allait faire, se trouver un groupe d’ami, tenter d’entrer dans un club, sortir avec une fille, voir tomber amoureux. Son regard se fit rêveur. Il n’était jamais tombé amoureux d’une fille, même s’il avait eu plusieurs petites amies. Cho Chang à quinze ans, Ginny à seize, et Parvati Patil à dix huit, pendant deux mois, mais aucune ne l’avaient fait ressentir ce sentiment que les couples amoureux décrivaient. La passion, la douce douleur brûlante dans l’estomac lorsqu’on se trouvait à proximité de l’être aimé, la pression sur le coeur quand on s’en trouvait éloigné... Le sexe était une chose, mais les sentiments en étaient une autre.

    Harry sortit une feuille blanche et griffonna, appuyer contre un classeur. Ca l’occuperait, en attendant, et apaiserait l’oppression dans son estomac qui le maintenait dans cet état d’excitation et d’impatience. Impatience de rencontrer son colocataires, ses voisins de chambre, les cours, les professeurs, ses camarades.

    Il ne dessinait pas trop mal, à sa plus grande joie. Son coup de crayon s’était encore affiné. Il n’avait pas de don naturel, il avait même été plutôt mauvais lors de ses premiers essaies, mais à force de travailler, au fil des années, il avait réussi à donner du relief à ses dessins, à comprendre comment placer les ombres, les couleurs, les différentes peintures, le travail du pinceau... Il adorait les nuances, même s’il ratait souvent. C’était d’ailleurs pour ça qu’il avait préféré prendre pour option principale l’histoire de l’art.

    Une heure plus tard, le verrou de la porte se fit entendre et Harry releva la tête de son esquisse. La porte s’ouvrit et laissa entrer un jeune homme blond aux joues encore ronde et à la crinière blonde cendrée. Les yeux étaient pétillants, et son sourire débordant d’enthousiasme.

     

    « Bonjour ! Je suis Collin ! Tu dois être Hadrian, c’est ça ?» Harry eut à peine le temps de répondre, que Collin continua. « Je suis ravi de faire ta connaissance ! C’est la première fois que je me retrouve loin de chez moi, je suis tellement nerveux et excité en même temps !» Le garçon parlait à une vitesse incroyable, et il prenait à peine le temps de respirer. « Tu es aussi en art ?» Il pointa son dessin, mais encore une fois, il ne put que acquiescer, n’ouvrant pas la bouche. « Je suis nul en dessin, mais j’adore prendre des photos, il paraît que je suis doué, et on m’a dit que j’étais destiné à devenir photographe, mais avant de me lancer, je préfère faire des études, pour avoir plus de cachet. Oh mais ! Excuse moi, je parle, mais je ne te laisse pas en placer une, désolé !»

     

    Harry déglutit. La colocation allait être... Intéressante.

     

    Les premiers jours se passèrent sans heurt. Les étudiants arrivaient généralement, comme Collin et lui, une semaine avant le début des cours pour s’acclimater au campus, qui malgré son manque de notoriété, n’avait rien à envier aux autres au niveau de sa superficie. Pour aller d’un bout à l’autre de celui-ci, il fallait au bas mot trente minutes, et encore, en marchant rapidement. C’était une ville miniature à proprement parlé.

    Collin parlait toujours autant, de tout et de rien, comme s’il avait peur de laisser le silence s’installer, et même s’il était sympathique et très amical, Harry fuyait la chambre la plupart du temps pour traîner. Il avait fait la connaissance de plusieurs étudiants d’années supérieurs, Blaise Zabini et Theodore Nott, qu’il avait rencontré dans un des bars où il avait réussi à trouver un emploi à mi-temps, le jour même de son arrivé sur le campus. Ils s’étaient tout de suite bien entendu. Blaise

    avait un humeur tordu, et Theodore, ou Theo, était plus silencieux et calme, observant et ne disant rien. Il avait apprécié passer du temps avec ce dernier, juste pour cette aura de calme qu’il dégageait en toute circonstance.

     

    « Tu sais, Hadrian,» Commença Blaise, qui avait pris l’habitude de l’appeler par son prénom entier au lieu de l’appeler directement Harry. « Tu devrais essayer de rentrer dans notre groupe. Il y en a quatre principaux sur le campus, mais le notre est le meilleur, il ne rassemble que les gens intelligents, et qui ont une certaine classe, et je suis sûr que tu pourrais y entrer, surtout si on te soutient.»

     

    Harry haussa un sourcil, et acquiesça, un sourire naissant aux lèvres. « Tu penses ? Je veux dire, pour la classe, c’est un peu à revoir.»

    « On te prêtera des vêtements.» Intervint Theodore, avant de rajouter rapidement « Ce n’est pas de la charité, tu devras nous les rendre lavés et repassés.»

     

    « Oui ! Ce n’est pas de ta faute si tu es pauvre après tout.» Fit Blaise avec un air mélodramatique. « Avec des vêtements appropriés, tu seras parfaitement convenable, tu as une démarche vraiment belle tu sais ?» Continua-t-il avec un sourire charmeur.


    « Est-ce que tu me mattes quand je marche, Zabini ?» Demanda-t-il, avec un sourire mi choqué, mi amusé.

     

    « Si tu savais.»

     

    Theo donna un coup dans les côtes de son ami, et lui rappela qu’il avait une petite amie. Blaise lui fit un regard triste, mais reprit vite son sérieux.

     

    « Non, sérieusement, tu devrais venir. Les cours vont bientôt recommencer, et les initiations vont bientôt se faire. Il y aura des épreuves, ou plutôt, des défis à faire. Une sorte de bizutage si tu préfères. Rien de bien méchant, ne t’inquiète pas.»

    « Et il s’appelle comment, votre club ?»

     

    « C’est plus qu’un club, Harry.» Répondit Theo. « C’est une famille pour nous, une seconde maison. C’est la maison Slytherin.»

     

    OoO

     

    Le premier jour fut stressant. Les professeurs leurs mirent tout de suite la pression. Ils étaient peut être en art, mais il était hors de question qu’ils travaillent moins dur que les étudiants de filière plus prestigieuses, comme la médecine. Ils étaient la pour devenir des directeurs de musées, des vendeurs dans des galeries d’art, des commissaires priseurs, ou encore des artistes reconnues. Ils étaient la pour apprendre, et il était clair que les professeurs ne s’occuperait pas des élèves à la traîne qui ne souhaitaient pas se donner à fond. Harry se promit de tout faire pour avoir les meilleurs notes possibles, pour faire honneur à cette université qui l’accueillait.

    Son cours préféré fut sans conteste le cours d’art moderne, l’une de ses matières majeures. Il avait moins aimé le cour de Design graphique, qu’il trouvait barbant et fut passionné par l’anthropologie, bien que cette matière compte moins de crédit que les autres matières. En général, il aimait beaucoup les matières proposées, et n’eut aucun mal à se mettre au travail, mieux, il fut heureux de constater qu’il avait des facilités à apprendre ce qu’on leur disait en cours. Avec un peu de chance, il pourrait se trouver un second travail en plus de celui du bar, les lundi, mardi et dimanche soirs. Il devait économiser dès maintenant s’il souhaitait rembourser son oncle.

    Il avait fait la rencontre de plusieurs personnes, dont une fille rêveuse prénommée Luna Lovegood, surnommée Loony, avec un don naturel pour le dessin, et qui sous ses airs ingénues, avaient une culture très approfondie de l’art. Elle avait déjà visité le Louvre, et plusieurs musées de New York.

    Harry avait été terriblement jaloux, mais elle lui avait promis de l’emmener avec elle à son prochain voyage avec son père, Xenophilius Lovegood, un original philanthrope. Il avait aussi fait la connaissance de Seamus et Dean, deux garçons presque inséparable, tellement qu’ils avaient même fait leur redoublement ensemble, et qui faisait tout le temps des blague, surtout Seamus, qui avait une manie de faire exploser des pétards à n’importe quel moment. La première fois, il avait failli mourir de peur.

    Il n’y avait pas beaucoup de garçon dans la filière, et ils s’étaient en fait tous regroupé, pour fuir les groupes de filles, très souvent venant de familles aisées, ou aristocratiques, comme Luna, qui heureusement, ne gloussait pas. Harry ne supportait pas leur façon de rire, et heureusement, elles n’étaient pas toutes comme ça. Mais c’était le cas de plusieurs amies de Blaise et Theodore, comme Pansy Parkinson, qui avait réussi à doubler son année. Ca ne l’étonnait pas, elle devait être là juste pour le statut d’étudiante, parce qu’elle lisait sans cesse des magazines de mode pendant les cours d’amphithéâtre.

    Les travaux dirigés ne commençaient pas tout de suite, aussi son emploi du temps était encore léger, et il pouvait sortir à loisir les soirs où il ne travaillait pas.

     

    « Hadrian !» Il se retourna en reconnaissant la voix de Blaise. « Te voilà, je t’ai cherché partout !»

     

    Theo leva les yeux au ciel, et il comprit que le noir ne devait pas le chercher depuis bien longtemps, si même il l’avait cherché.

     

    « Tu as fini tes cours ?»

    « Heu.. Oui...»

    « Parfais, tu vas rencontrer Draco, c’est le Président de la maison en ce moment, c’est lui qui contrôle tout et qui choisi les défis.»

     

    Harry n’eut pas d’autre choix que de suivre ses deux amis, lançant à peine un au revoir aux autres de première année. Il fut traîné jusqu’à un local entièrement noir et décoré façon donjon. Il n’était jamais allé dans ce coin du campus, qui regroupait principalement les gosses de riche, il n’avait pas osé, par peur de faire tâche dans cet endroit où tout le monde se tenait si bien, et étaient si bien habillé.

     

    « Vous ne deviez pas me prêter des vêtements, vous deux ?»

    « Plus tard, Malfoy veut te voir maintenant.»

    « Attendez... Malfoy comme Lucius Malfoy ?!»

    « C’est son père, oui.» Répondit Theodore avec un sourire en coin.

     

    Harry devint blanc. Lucius Malfoy était un éminent politicien en Angleterre, un véritable rapace qui avait la main mise sur beaucoup de membre de la chambre des députés, et très nombreux étaient ceux qui le pensait capable de devenir le prochain Premier Ministre du pays. Il était étrangement intimidé. Avec un père comme ça, ce Draco devait être intimidant, et impressionnant, probablement.

     

    « Ne t’inquiète pas, il ne te mangera pas !» Le rassura Blaise.

     

    Il respira profondément, et il entra dans l’imposante bâtisse. Harry resta un instant figé. Tout était si luxueux ! Les canapés étaient en cuir et les murs étaient élégamment décorés de tableaux, copies de certains se trouvant dans de fameux musées. À son grand étonnement, les garçons et les filles présents portaient tous des jeans et des sweet. Il s’était stupidement imaginé que tous les membres de ce club étaient très élégamment habillé, en costume et en robe pour les femmes. Harry s’insulta mentalement pour ses propres préjugés, et continua d’avancer. Malgré son accoutrement, son pull à la mode Weasley et son pantalon trop grand, il ne faisait pas trop tâche.

     

    « Viens, c’est par ici.»

     

    Blaise et Theo passèrent devant et le conduisirent à une petite pièce au bout du rez-de-chaussé. Ils frappèrent à la porte, et une voix froide et autoritaire se fit entendre.

     

    « Entrez.»

     

    Blaise ouvrit la porte et il fit signe à Harry de passer en premier. Il vit immédiatement un grand blond aux yeux gris et glacés. Il était habillé avec ce qui semblait être du Gucci, et il était incroyablement beau, une beauté masculine, avec des traits fins. Un véritable mannequin. Ainsi, des personnes comme lui, incroyablement belle, existait vraiment ?

     

    « C’est lui, Hadrian Potter ?» Son ton était ouvertement méprisant. Les yeux bleus le détaillait de la tête aux pieds, les sourcils froncés et les lèvres courbés en un rictus dégoûté. « Vous êtes sûrs ? Sérieusement, je veux dire.» La voix était traînante, et Harry décida qu’il ne l’aimait pas. Le blond était tellement... Dédaigneux ! Il avait l’impression d’être une merde sous sa semelle, et il n’eut qu’une envie, c’était de partir de la pièce, et de l’immeuble. La colère lui tordant l’estomac, Harry explosa quand il vit le regard traîner avec dégoût sur son pantalon abimé.

     

    « Excuse moi, mes yeux sont plus hauts, et tu peux me parler directement, je suis assez intelligent pour comprendre ce que tu dis, je n’ai pas besoin d’interprète.» Exposa-t-il froidement, ses yeux verts lançant des éclairs. « Et apparemment, ce ‘club’, ou maison, ou quelque soit son nom, n’est pas si bien que ça, si on se base sur les vêtements des membres.»

     

    Harry prit son sac qu’il avait posé par terre, et se détourna. « Désolé Blaise, je vais partir, je ne supporte pas les cons.» Dit il, assez fort pour être sur que Malfoy l’entende.

     

    Il allait passer la porte, lorsque Malfoy éclata de rire, un rire franc et sincère. « D’accord, je comprends pourquoi vous me l’avez amené ! Tu as du caractère, pas vrai ? Tu es vraiment impulsif ! Tu aurais presque ta place chez les Gryffons, si tu n’étais pas si piquant.» Il se leva et vint se mettre devant lui, et Harry constata avec horreur qu’il le dépassait d’une bonne tête. « Je vais décider de ton défi, et on verra bien si tu as assez de cran pour faire parti de notre maison.»

     

    OoO

     

    « Hadrian ! C’était impressionnant ! J’ai rarement vu Draco aussi excité par quelqu’un ! Tu as dû lui faire une forte impression.»

    « Vraiment ?» Fit il, l’air septique.

    « Mais oui. Et maintenant, il suffit que tu remplisses le défi.» Sourit grandement Blaise. « Je me demande sur quoi tu vas tomber.»

     

    « Vous avez dû faire quoi ?»

    « J’ai dû danser en boxer sur le devant de l’amphithéâtre.» Rit Blaise.

    « C’est assez humiliant...» Fit simplement Harry, ne s’imaginant pas faire quelque chose comme ça. Il était bien trop pudique ! Même danser habillé le gênerait, alors presque nu...

    « Je ne regrette pas, c’est suite à ça que j’ai rencontré Pamela. Ma petite amie.» Précisa-t-il. « Et Theodore a dû aller dans la ville d’à côté et chanter sans discontinu pendant deux heures dans la rue commerciale.» Theo rougit légèrement à l’évocation de ce souvenir. « C’était à mourir de rire ! Mais généralement, c’est quelque chose d’assez gentillet, qui colle avec notre personnalité.»

    « Ou pas.» Rajouta Theo.

     

    Harry ne put s’empêcher de sourire. Les deux hommes avaient l’air de garder de bons souvenirs de ces défis d’entrée. Il allait simplement s’y soumettre, dans la bonne humeur et le fairplay

     

    À suivre.


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :